Après 50 ans, la chute des œstrogènes peut favoriser la résistance à l’insuline
Après 50 ans, beaucoup de femmes découvrent que leur glycémie grimpe… et souvent, elles tombent des nues.
Ce phénomène est fréquent, mais encore largement sous-estimé.
En France, près de 10 % des adultes sont en situation de prédiabète, et la proportion grimpe avec l’âge.
Dans certaines cohortes d’âge moyen, la prévalence dépasse 25 % selon les critères ADA.
Les chiffres varient selon les définitions, mais la tendance est claire : après 50 ans, il faut surveiller ça de près.

La chute des œstrogènes modifie la façon dont ton corps utilise le glucose.
Résultat : ta tolérance aux glucides diminue, ton taux d’insuline a tendance à augmenter, et le stockage au niveau abdominal devient plus marqué.
Le diabète ne s’installe pas du jour au lendemain.
Cela commence par une résistance à l’insuline, souvent silencieuse, qui évolue lentement au fil des années, des kilos pris, et du temps où l’on reporte l’attention sur soi.
Il ne suffit pas de vérifier ta glycémie à jeun.
Pour un vrai bilan métabolique, demande à ton médecin de contrôler aussi :
ton HbA1c (moyenne de ta glycémie sur 3 mois)
ton taux d’insuline à jeun
ton indice HOMA-IR, qui évalue ta sensibilité à l’insuline.
Ces marqueurs te permettent d’agir avant que le diabète ne s’installe.
Ton avenir métabolique n’est pas écrit d’avance.
En reprenant la main sur ton hygiène de vie, tu peux réellement inverser la tendance.
Une alimentation adaptée à la ménopause peut t’aider à :
? stabiliser ton poids
? calmer tes fringales
? retrouver ton énergie
? protéger ton cœur et ton espérance de vie en bonne santé.
Et tout commence souvent par… le premier repas de la journée.
Un petit-déjeuner riche en protéines, pauvre en sucres rapides et riche en fibres est l’un des leviers les plus puissants pour stabiliser ta glycémie et relancer ton métabolisme après 40 ans.
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